Smallville
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 Un jour, j’irai te chercher. Et alors, nous serons heureux..

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2 participants
AuteurMessage
superyona
Martha Kent
superyona


Nombre de messages : 7
Localisation : brest
Date d'inscription : 29/08/2005

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MessageSujet: Un jour, j’irai te chercher. Et alors, nous serons heureux..   Un jour, j’irai te chercher. Et alors, nous serons heureux.. EmptyLun 29 Aoû - 18:25

bonjour donc voila je suis nouvelle , et je vous presente ma premiere fic entierement CHLEX

par Superyona



Disclaimer:

Smallville et ses personnages ne m’appartiennent pas
Smallville © The Warner Bros Television & DC Comics
Smallville created by Alfred Gough & Miles Millar

Superman © DC Comics
Superman created by Jerry Siegel & Joe Shuster



Note : ceci est ma première fic
Si il y a des fautes je suis désoler et j’attend beaucoup de feed ^^ ( je vous previen il y aura souvent des NC)






Chapitre 1

Elle portait du jaune.
Ce fut cette couleur qui, tout d’abord, attira l’attention de Lex Luthor. Une jonquille parmi les orchidées noires, songea-t-il avec amusement. Les femmes qui gravitaient dans les milieux artistique portaient toujours du noir, semblait-il ; du cuir noir, du satin noir, de la soie noire... C’était comme un uniforme proclamant : « Moi aussi j’appartiens à ce monde élégant et distingué. » La galerie était pleine de ces fausses veuves, venus voir et être vues au vernissage de l’exposition Paul Howard.
Lex était en noir, lui aussi : chemise de soie sauvage, jean de marque, veste de cuir. Il aimait assez entretenir l’illusion qu’il « appartenait à ce monde », bien qu’il sût que c’était faux, et ne serait jamais vrai. Il ne perdait jamais son sentiment de différence, même lorsqu’il parvenait tout en haut de l’échelle qu’il s’était choisie _quelle que fût cette échelle.
Ainsi, dans le milieu, il possédait une réputation bien méritée de collectionneur d’art ; les vendeurs se battaient pour le séduire, les autres acheteurs respectaient son opinion, et les artistes recherchaient son appui. Mais cela ne suffisait pas à faire de lui « un des leurs ».
La femme en jaune l’intriguait. Il était clair que trancher au sein de la foule ne la dérangeait pas. Peu de gens auraient pu porter une telle couleur avec succès, sans être éclipsés par sa chaleur, son rayonnement ; mais sur elle, ce jaune soleil était époustouflant. Pourtant, ce n’était qu’un simple tailleur de lin, aux lignes épurées, presque trop sobres.
La jeune femme avait une silhouette de mannequin : haute, fine, toute en courbes suggestives et en longueurs aristocratiques. Des cheveux couleur des blés tombaient en plis souples sur ses épaules ; son visage n’était pas apprêté, et son bronzage doré évoquait le grand air et la bonne santé plus que les cabines d’esthéticiennes. Des traits fins, un nez droit et une bouche pleine complétaient ce tableau pour le moins séduisant.
« Vraiment pas mal, la petite chérie », songea Lex, dont l’esprit commençait à vagabonder vers des zones troubles. Après tout, sa vie amoureuse_ si on pouvait l’appeler ainsi_ avait bien besoin d’un petit coup de pouce... Son intérêt pour Alysson avait commencé à s’émousser avant même le départ du top model pour les podiums européens, et il voulait quelqu’un de nouveau. Quelqu’un d’excitant.
Nombres de femmes présentes auraient volontiers sauté sur la moindre opportunité de s’offrir une petite incartade coquine avec Lex Luthor. Elles se moquaient bien de qui il était au fond de lui ; il leur plaisait voilà tout. Mais il en avait assez des relations fugaces. Il voulait davantage. Un soupçon de mystère ? L’excitation de la chasse, de la poursuite d’une proie rebelle ?
La femme en jaune évoquait un rayon de soleil printanier, au milieu de toutes ces belles sophistiquées. Fraîche. Attirante. Qui qu’elle fût, elle semblait seule ; personne ne la suivait de prés. Plus Lex la regardait, plus sa curiosité s’éveillait.
Les peintures n’intéressaient manifestement pas Jonquille. Son regard ne faisait que les effleurer, sans jamais s’arrêter assez longtemps pour qu’elle pût évaluer la valeur des toiles, ou même leur aspect. En revanche, elle observait avec attention tous les hommes qui passaient prés d’elle, comme si elle avait peur de manquer un visage. Quant aux femmes, elle les ignorait purement et simplement.
- Une autre coupe de champagne, Lex ?
Lex sursauta et se retourna : Claude Meyer venait de se matérialiser à son côté. Sans doute le propriétaire de la galerie Woodlark espérait-il lui vendre un des tableaux...
- Pourquoi pas ? répondit-il en posant son verre vide sur le plateau que tenait Claude pour prendre une coupe pleine. Merci. Dites-moi, votre vernissage est un succès ; il y a rarement autant de monde, d’ordinaire...
- C’est un artiste très populaire, acquiesça Meyer. Vous avez repéré quelque chose qui vous intéresse ?
- Oui.
Lex hocha vigoureusement la tête.
- La femme en jaune.
Son interlocuteur s’empressa de dissimuler sa surprise derrière un gloussement ironique.
- Je parlais des paysages exposés, précisa-t-il
-Ce type a du talent, mais je n’ai rien vu qui m’ait vraiment frappé. Aucune toile qui m’ait crié : « Achète-moi ! »
- J’ai la certitude que cet artiste se révélera un bon investissement, affirma aussitôt Meyer
- Qui est cette femme ?
Suivant la direction de son regard, le propriétaire de la galerie fronça les sourcils.
-Vous plaisantez, Lex ?
- Allons, Claude, vous devez bien savoir de qui il s’agit : l’accès à ce vernissage était sur invitation seulement !
- Voilà précisément pourquoi j’ai hésité à la laisser entrer, mais elle m’a dit qu’elle avait rendez-vous avec vous !
La curiosité de Lex fit un nouveau bond.
- Comme c’est audacieux de sa part ! Murmura-t-il
- J’avais pensé, comme vous étiez arrivé tout seul...
- Que c’était ma petite amie ?
Claude se balançait d’un pied sur l’autre d’un air embarrassé ; il appréciait fort peu de s’être laissé duper si facilement.
- Si elle a menti, je peux...
- Non, laissez, claude. Puisque la demoiselle a rendez-vous avec moi, je vais de ce pas aller la retrouver !
Lex jeta au marchand d’art un regard ironique.
- Et qui sait ? Ajouta-t-il. Si par hasard elle aimait l’un de ces paysages, peut -être pourrais-je le lui offrir ? Il ne faut jamais jurer de rien...
Comprenant qu’il n’y avait plus pour lui d’intérêt à poursuivre cette conversation, Claude hocha la tête
- Fort bien, Lex. Espérons dans ce cas qu’elle fasse notre bonheur à tous les deux !
- Puis-je vous prendre une seconde coupe de champagne ?
- Je vous en prie
Claude s’éloigna, à la recherche d’un autre client potentiel. Lex, quant à lui, concentra son attention sur Jonquille. Avait-elle lancé son nom à l’accueil dans le seul but d’entrer dans la galerie, ou bien avait-elle réellement l’intention de le rencontrer ? Et dans quel but ? C’était une question fort intrigante...
Etait-ce une croqueuse de diamants en chasse ? Depuis que les médias l’avaient cité comme l’un des meilleurs partis des Etats-Unis _sans sa permission _, Lex avait été la cible de mille et une tentatives de séduction plus ou moins discrètes.
A la pensée que Jonquille pût en avoir à son argent, Lex fut envahi d’un vif sentiment de répulsion. Non, il ne fallait pas qu’elle soit ainsi... Et pourtant, elle était bel et bien en train d’évaluer les hommes de la galerie, les uns après les autres, et de les éliminer tour à tour, impitoyablement.
Si c’était l’argent qui intéressait la belle, il se sentait d’humeur à l’appâter quelque temps, pour ensuite lui dire ses quatre vérités d’une manière qu’elle n’oublierait pas de sitôt. Il détestait les parasites ; lui-même s’étai fait tout seul, et il n’éprouvait que mépris pour les femmes qui cherchaient à profiter des atouts physiques dont la nature les avait dotées afin de vivre confortablement sans se fatiguer.
Elle passa sous l’arche qui séparait les deux salles d’exposition du premier étage, se rapprochant de Lex. Ce dernier se raidit imperceptiblement. Le moment de vérité était imminent... Il attendit.
Jonquille le vit enfin, et elle écarquilla les yeux en constatant qu’il la fixait avec intensité.
Qu’y avait-il dans son regard ? Un questionnement ? On eût dit qu’elle s’attendait qu’il la reconnût... Ma foi, si elle espérait lui faire le coup du « On ne s’est pas déjà vu quelque part ? », elle allait être déçue. Jamais il ne l’avait croisée de sa vie, il en était certain.
S’il y avait bien une chose dont Lex s’enorgueillissait, c’était de sa mémoire. Il se souvenait de tout : visages, noms, lieux, chiffres. C’était son plus grand talent_ celui qui lui avait permis d’atteindre les sommets auxquels il était parvenu, lui, le meilleur financier de la ville.
Jonquille ne faisait pas, et n’avait jamais fait partie de son monde.
L’expression du joli visage bronzé se modifia, comme si la jeune femme était mentalement revenue sur sa première réaction. Elle l’étudiait à présent avec une intensité qu’il trouvait étrangement gênante. Comme si... comme si elle voulait passer au-delà de la barrière de sa chair, et découvrir l’homme qu’il était vraiment, à l’intérieur. Son regard était froid, calme, calculateur ; absolument dépourvu de la moindre connotation sexuelle.
Cela incita Lex à reprendre l’initiative. Elle voulait le rencontrer ? Parfait ! Mais alors, ce serait lui qui mènerait le jeu.
Tout à coup, en effet, il éprouvait un besoin intense, étrange, de faire d’elle une simple femme_ une femme qui réagirait à lui en tant qu’homme. Il voulait lui enlever son masque printanier, mettre à nu son corps comme son esprit. Il voulait sentir sa chair sous ses mains, débarrassée de tout artifice, il voulait la faire plier à sa volonté.
Délibérément, il laissa glisser son regard sur ses seins généreux, esquissant un sourire appréciateur. La jupe jaune, assez courte dévoilait une impressionnante longueur de jambes... Il est imagina, sans leur gaine de soie dorée, enroulées autour de ses hanches, repliées, soumises.
Oui, il lui ferait payer cette étrange attraction qu’il éprouvait pour elle. Nul ne jouait longtemps de Lex Luthor.
Le jaune n’avait été qu’un moyen d’attirer son attention. Une couleur chargée de frapper son imaginaire. A présent, il prendrait un grand plaisir... à effeuiller un à un les pétales de cette ravissante effrontée

a suivre...



alors sa vous plait ? Un jour, j’irai te chercher. Et alors, nous serons heureux.. Gne_gif


Dernière édition par le Mar 30 Aoû - 13:17, édité 2 fois
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kayliah59
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MessageSujet: Re: Un jour, j’irai te chercher. Et alors, nous serons heureux..   Un jour, j’irai te chercher. Et alors, nous serons heureux.. EmptyLun 29 Aoû - 18:54

étant donné que je viens de terminé le chapitre 6
et que j'attend IMPATIEMMENT le 7
la question se pose meme pas!
j'adoooooooooore :43: Un jour, j’irai te chercher. Et alors, nous serons heureux.. Manga50
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Un jour, j’irai te chercher. Et alors, nous serons heureux..
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